Où aller et ou ne pas aller, la question reste cruciale alors que l’état des plages laisse à désirer notamment suite à la crise environnementale que le Liban connait depuis un an. Un état des […]
Où aller et ou ne pas aller, la question reste cruciale alors que l’état des plages laisse à désirer notamment suite à la crise environnementale que le Liban connait depuis un an. Un état des […]
Revoilà l’été et ses chaleurs estivales encore supportables comme on en a eu ce weekend, l’occasion pour nous de nous rendre à la plage. Galet ou sable fin, même si généralement l’eau n’est pas de […]
En 1992, à l’occasion de la première visite de ma soeur et de mon beau-frère tout juste « just married », nous nous sommes rendus à Tyr, ville mythique, icône de la résistance libanaise aux envahisseurs -n’a-t-elle résisté aux troupes de Babylone de nombreuses années, puis quelques mois à Alexandre, au risque de perdre ses colonies d’outre-Méditerranée en faveur de sa fille Carthage. Il s’agissait de la seule fois où je me suis rendu autant au Sud jusqu’en 2008, alors qu’on était invité à l’occasion du 14 juillet par le contingent français de la FINUL.
Bref, profitant quelque peu que le calme se soit instauré à la frontière Sud du Pays, Marie-Josée et moi avons décidé de nous y rendre sans que quiconque ne le sache, le Liban étant un fort vivier de préjugés. Nous avons quitté Beyrouth vers 9h15, via la route menant à Saida passant par Jiyeh, antre des Beachs partys de ma période universitaire, avec le Bamboo Bay et autre Océana avant de nous arrêter à Saïda juste pour prendre quelques clichés du Château Croisé, dit de la mer et un petit bout de la corniche avant de rebrousser chemin en arrivant à la fameuse décharge – qui n’est guère attrayante ….