Fitch justifie cette abaissement de la note citant notamment le nombre de réfugiés syriens présents au Liban, la paralysie des institutions libanaises suite à la démission du gouvernement Mikati et à l’impossibilité actuelle du premier ministre désigné Tamam Salam de former son cabinet depuis mars 2013 ainsi qu’à l’approche des élections présidentielles de mars 2014 dont l’issue demeure pour le moment incertain. L’agence américaine indique également s’attendre à une augmentation du taux de dette public qui passerait de 138% fin 2013 à 140% en 2015 et ne s’attend à aucune amélioration de la situation économique avant la fin du conflit syrien.